Aujourd'hui, Cindy se porte mieux chez Koffi Olomidé que lorsqu’elle était dans le gospel » (Aimé Nkanu)

 











Le célèbre artiste gospel Aimé Nkanu n’a pas hésité à affirmer que Cindy Le Cœur, ancienne voix du gospel et actuelle collaboratrice de Koffi Olomidé, semble aujourd’hui plus épanouie depuis qu’elle a rejoint le Quartier Latin.

Cette déclaration, pour le moins surprenante, a divisé l’opinion publique : certains saluent l’honnêteté d’Aimé Nkanu et reconnaissent le talent de Cindy, tandis que d’autres crient au scandale, estimant qu’il est inacceptable de comparer le sacré au profane.

La sainteté intérieure

La véritable sainteté ne se limite pas aux rituels ou apparences extérieures. Jésus-Christ enseigne que la sainteté commence dans le cœur, par une transformation opérée par le Saint-Esprit. Le sacré et le profane sont deux réalités distinctes :

Le sacré désigne ce qui est mis à part pour Dieu, consacré à Son service : lieux de culte, objets rituels, personnes appelées à un ministère spirituel.

Le profane, quant à lui, englobe les choses ordinaires de la vie quotidienne, souvent éloignées des exigences de la consécration divine.

Retour sur le parcours de Cindy Le Cœur

Pour rappel, Cindy Le Cœur a fait ses débuts dans la musique gospel avant de rejoindre le Quartier Latin, où elle évolue encore aujourd’hui. Elle y occupe une place de choix, jouant un rôle majeur au sein de cette maison musicale. Son évolution artistique et son engagement actuel suscitent autant d’admiration que de controverses.

La transformation du profane

La grâce de Dieu dépasse les frontières du sacré. Elle est capable de transformer même ce qui est profane, y compris nos activités quotidiennes, nos choix de vie et nos relations humaines, en quelque chose de précieux aux yeux de Dieu.

Le Nouveau Testament met en lumière cette puissance transformatrice : il nous enseigne que la sanctification concerne toute la vie, pas seulement les domaines explicitement religieux.

La vraie sainteté est intérieure. Elle se manifeste dans l’attitude, le caractère, les œuvres, et non uniquement dans des pratiques rituelles.

Pourquoi aimons-nous davantage les choses du monde que celles du ciel ?


Plusieurs raisons peuvent expliquer cette tendance :

1. La gratification immédiate

Les plaisirs matériels offrent une satisfaction rapide et tangible, contrairement à la quête spirituelle qui demande du temps, de l’effort et de la persévérance.

2. La peur de l’inconnu

Les réalités célestes paraissent parfois abstraites, incertaines, voire effrayantes pour certains.

3. Le manque de compréhension

Beaucoup ne comprennent pas bien les vérités spirituelles, souvent par manque d’éducation ou d’exposition aux valeurs de l’Évangile. Cela les pousse à accorder plus d’importance au monde matériel.

Cependant, le désir de spiritualité est présent chez de nombreuses personnes, même s’il est parfois mal exprimé ou refoulé. La recherche de sens, de paix et de transcendance est une aspiration profondément humaine.

Le choix du chemin

Chacun est libre de choisir son chemin. Mais Dieu, dans sa sagesse, nous invite à emprunter le chemin de la vérité et de la vie, incarné en Jésus-Christ.

Le véritable épanouissement ne se trouve pas uniquement dans la réussite matérielle ou artistique, mais dans une relation vivante avec Dieu, qui donne sens et direction à toute notre existence.

Totalement Chrétien 




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